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Puyoô

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Puyoô
Puyoô
La cité Rigoulet.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes de Lacq-Orthez
Maire
Mandat
Michel Labourdette
2020-2026
Code postal 64270
Code commune 64461
Démographie
Population
municipale
1 098 hab. (2021 en évolution de −4,85 % par rapport à 2015)
Densité 118 hab./km2
Population
agglomération
2 497 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 43° 31′ 36″ nord, 0° 54′ 39″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 155 m
Superficie 9,32 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Puyoô
(ville-centre)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Puyoô
Géolocalisation sur la carte : France
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Puyoô
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Puyoô
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Puyoô

Puyoô est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Puyolais[1].

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Puyoô se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 63 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 14 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Salies-de-Béarn[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Bellocq (1,1 km), Ramous (1,5 km), Ossages (4,3 km), Lahontan (4,5 km), Bérenx (5,1 km), Habas (5,3 km), Baigts-de-Béarn (6,1 km), Salies-de-Béarn (6,2 km).

Sur le plan historique et culturel, Puyoô fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Habas, Ossages, Bellocq, Lahontan et Ramous.

Communes limitrophes de Puyoô[7]
Habas
(Landes)
Ossages
(Landes)
Lahontan Puyoô Ramous
Bellocq

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Puyoô.

La commune est drainée par le gave de Pau, le Lataillade, un bras du gave de Pau, le ruisseau d'Artigue-Bieille, le ruisseau de l'Espérance, le ruisseau de Loulié, le ruisseau de Peyranère, le ruisseau Saubagnac, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le gave de Pau, d'une longueur totale de 192,8 km, prend sa source dans la commune de Gavarnie-Gèdre et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Saint-Laurent-de-Gosse, après avoir traversé 88 communes[9].

Le Lataillade, d'une longueur totale de 13,7 km, prend sa source dans la commune de Saint-Boès et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau sur le territoire communal, après avoir traversé 7 communes[10].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 249 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Orthez à 12 km à vol d'oiseau[14], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 211,5 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[19], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 4] encore vivace[20],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[21],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » (3 000,84 ha), couvrant 71 communes dont 10 dans les Landes, 59 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées[22].

Au , Puyoô est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Puyoô[Note 6], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 7],[24],[2]. La commune est en outre hors attraction des villes[25],[26].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (45,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (44,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,6 %), zones agricoles hétérogènes (28,1 %), terres arables (11,8 %), zones urbanisées (11,3 %), prairies (5,2 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux

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  • le Cout ;
  • Lasserres ;
  • Village.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Puyoô est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave de Pau et le ruisseau de Lataillade. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1998, 2009, 2013, 2014 et 2018[30],[28].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Puyoô.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[31]. 72,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[32].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1983 et 2018[28].

Le toponyme Puyoô apparaît[33] sous les formes Puyou (1327, titres de Came[34]), Poyou (1385, censier de Béarn[35]), Puyo (1399, titres de Came[34]), Saint-Jean de Puyou (1735, titres de Puyoô[36]) et Puyòo (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[33]).

Puyoô, Pujòu en béarnais, signifie « monticule, petit puy, petite hauteur », du latin podium, hauteur, avec le suffixe diminutif -olum, réduit à la prononciation en -òu[37].

Les noms de lieu et de personne Pujol (Occitanie et Catalogne) ont la même origine.

Paul Raymond[33] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn. Jean de Péfaur, né vers 1732 a été abbé laïque de Puyoô. Sa fille, Suzanne Antoinette de Péfaur, épouse de Paul Desclaux, seigneur de Lescar, a été abbesse laïque à la suite de son père.

En 1385, Puyoô dépendait du bailliage de Rivière-Gave, nom d'un archiprêtré du diocèse de Dax qui tirait son nom du gave de Pau. On y comptait 24 feux.

Politique et administration

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Le , les communes de Puyoô, Bellocq et Ramous sont fusionnées. La nouvelle commune prend le nom de Puyoô-Bellocq-Ramous. Elles redeviennent indépendantes le .

Intercommunalité

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Puyoô était membre de la communauté de communes du canton d'Orthez, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Celle-ci a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes de Lacq-Orthez dont est désormais membre la ville.

Puyoô fait également partie en 2020 d'autres structures intercommunales[38] :

  • le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable du Saleys et des Gaves ;
  • le SIRP de Puyoô Ramous
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat d'assainissement de Puyoô - Bellocq - Ramous ;
  • Agence publique de gestion locale

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 En cours
(au mai 2020)
Michel Labourdette Parti socialiste (France) Président de la CC du canton d'Orthez (avant 2011[39] → 2013)
Vice-président de la CC de Lacq-Orthez (2014 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[40],[41]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[43].

En 2021, la commune comptait 1 098 habitants[Note 9], en évolution de −4,85 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
482474528576616671646704701
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
672649682643642674726693689
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
6846907349381 2191 3001 1781 1771 109
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 1411 1542 2592 2341 0071 0321 1071 1841 136
2021 - - - - - - - -
1 098--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lors des recensements de 1975 et 1982 Puyoô était fusionnée avec les communes de Bellocq et Ramous. La population est celle de Puyoô-Bellocq-Ramous, ce qui explique les chiffres nettement supérieurs à ceux des autres recensements.

L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (élevage, polyculture, vigne).

La commune fait partie de la zone d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du Béarn.

Culture locale et patrimoine

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La fête communale a lieu fin juin.

Patrimoine civil

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Gare de Puyoô

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Gare de Puyoô.

La gare actuelle a été construite en 1862 par l'ancienne Compagnie des chemins de fer du Midi. Le bâtiment présente un pavillon central muni de deux ailes construites en maçonnerie enduite et peinte et recouvert d'une toiture en tuiles.
La construction de la Grande Halle voyageurs de Puyoô a été réalisée en 1920.
La desserte TER est évaluée à environ 10 300 voyageurs par an (entrée et sortie).

Patrimoine religieux

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L'église Saint-Jean-Baptiste.
La chapelle Saint-Jean-Baptiste.

L’église de Puyoô est dédiée à Jean le Baptiste, tout comme la chapelle dite Saint-Jean-Baptiste de Lescar.

Équipements

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Enseignement

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La commune dispose d'une école primaire.

Sports et équipements sportifs

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La commune entretient un stade de rugby et des courts de tennis.

Vie sociale

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La commune dispose d'un foyer municipal.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
  4. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  7. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Puyoô comprend deux villes-centres (Bellocq et Puyoô) et une commune de banlieue.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Puyoô » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Puyoô », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Puyoô », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Gentilé sur habitants.fr
  2. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Puyoô ».
  3. Stephan Georg, « Distance entre Puyoô et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Puyoô et Orthez », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Puyoô », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. « Fiche communale de Puyoô », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « le gave de Pau ».
  10. Sandre, « le Lataillade ».
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Orthodromie entre Puyoô et Orthez », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Orthez » (commune d'Orthez) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Orthez » (commune d'Orthez) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Puyoô », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Puyoô », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
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  25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
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  28. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Puyoô », sur Géorisques (consulté le ).
  29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
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  31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  32. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  33. a b et c Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  34. a et b Titres de Came - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  35. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  36. Titres de Puyoô - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  37. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059), p. 297..
  38. « Outil de recherche BANATIC » (consulté le ).
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  40. Jean Masmontet, « Michel Labourdette se représente », Sud-Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Articles connexes

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Liens externes

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